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MŒURS FIN DE SIÈCLE
» séraphiques, en prononçant, avec tant de douloureuse élégance, les syllabes de mon nom ! Les ailes d’un moustique… Comme sa voix est bienveillante. M’a-t-il donc pardonné ? Son corps alla cogner contre le tronc d’un chêne… « Maldoror ! »
— Assez, cela m’énerve.
Alors, ils demeuraient abrutis jusqu’au lendemain matin.
Avant de se séparer, de Noirof disait à sa mère :
— Quand finirons-nous de nous aimer platoniquement ?
— Plus tard, lui répondait-elle ; tu es mon fils, et je ne veux pas pécher avec toi tant que ta femme vivra.
— Et si elle meurt après nous ?
— Nous nous aimerons là-haut.
Elle ajoutait :
— Fais-la donc mourir ; fais-lui manger de la graisse, des féculents ; elle étouffera fatale-