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TROISIÈME PARTIE
resterait à écrire, puisque Maurice ne voulait pas écrire lui-même, et je prévoyais que par deux ou trois lettres successives, je viendrais à bout de ma tâche avec plus d’habileté.
Oui, alors que j’étais parti de chez moi sans hésiter pour lui annoncer ce que j’avais à lui annoncer, je souhaitais, à mesure que j’approchais de chez elle, de ne pas trouver Marthe : une espèce de gêne m’envahissait.
Or, comme je descendais de voiture et payais le chauffeur, une jeune femme joyeusement me salua.
— Tiens ! vous aussi ? fit-elle.
C’était une amie de Marthe. Elle riait.
— Vous veniez voir les amoureux ? Ils ne rentrent que demain.
Je la regardai.