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que monsieur votre père reçoit dans son intimité. Cela ne m’arrivera plus. Promettez-moi seulement de ne pas juger de la noblesse de Bretagne d’après les trois échantillons que vous venez de me citer.

— Mais, madame la marquise, le vicomte de Montflanquin nous a dit que les maisons de Kerlandec et de Barbanpré ne le cèdent à aucune autre pour l’illustration et l’ancienneté, et j’aurais cru que le vicomte de Montflanquin lui-même représentait avec ces deux gentilshommes l’élite de la noblesse du pays ?

— Tenez, mademoiselle, parlons d’autre chose, répondit la marquise se maîtrisant à peine ; sinon je vais me reprendre à rire, et cela me fait mal, outre que c’est inconvenant.

Là-dessus, au grand regret de Laure, elle changea le cours de l’entretien. Mademoi-