législation ; enfin c’est comme ça ! Qu’est-ce que je vas répondre aux questions de ce bon Dunières ?
Que je ne peux pas épouser mademoiselle de Saintrailles, parce que mon cœur ne m’appartient pas.
Allons donc ! Comme ça, brusquement ? C’est impossible !
Eh bien, sache d’abord ce qu’il veut, et, si l’on insiste… j’irai m’expliquer moi-même !
Réfléchis, pourtant.
J’ai réfléchi, va donc.
Scène IV
Eh bien, monsieur le marquis, votre déjeuner ?…
Et vous, vous ne songez donc pas à vous reposer ?
Pour une nuit de veille bien tranquille ? Ce n’est rien pour moi, cela, monsieur le marquis. J’en ai passé bien d’autres !
Alors, vous ne voulez pas que je vous remercie ?…
Me remercier de quoi ?
De ce que vous eussiez fait pour tout autre, pour le premier venu, je le sais. Vous êtes charitable ; mais, moi…