tion la treille du père Valentin.) Toutes les peines à la fois ! Mon fils désolé ! mon honneur entaché !… Ils diront que c’est moi qui ai refusé mon consentement, par avarice ! que j’avais employé un mauvais bois par ignorance !
Eh bien, qu’est-ce qu’il fait donc ? ma vigne ?
Laissez, laissez, mon père ! Ne le dérangez pas encore ! On continue le bouquet que Reine orne d’un ruban pris sur sa cornette.
Ah ! ils sont là ?… Ils ne travaillent plus… ils ne me disent rien ! Allons, je comprends ! ils y ont renoncé ! tout est perdu ! Montrons-nous philosophe… soyons calme !
Mon parrain…
Eh bien, quoi ? un bouquet ? Est-ce que c’est ma fête ? Une jolie fête, vraiment !
Mon père, embrassez-la ! on embrasse toujours ceux qui vous apportent les premiers une bonne nouvelle.
Une bonne nouvelle ! Hein ? quoi ? Est-ce que… ? Il se laisse embrasser par Reine.
Oui, maître, on embrasse les enfants, et on donne une poignée de main aux amis !
Ah ! c’est donc fini ?… Mes enfants !… mes amis !… mon voisin !… (Il lui serre la main.) Vrai ! vous valez mieux que je ne croyais !… Comment ! c’est fini ? je ne rêve pas ?
Et j’ose dire que c’est une pièce un peu réussie ! (Il le mène