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au bout du dortoir des religieuses, une grosse porte, bardée de fer, qu’elle n’avait jamais remarquée parce que, dans le jour, elle se trouvait cachée dans un enfoncement, fermait la communication du bâtiment des religieuses avec celui qu’elle occupait. Forcée de revenir sur ses pas, elle chercha un autre couloir : il était fermé par une porte toute semblable. Que devenir !

Elle mourait de froid, l’enthousiasme s’était calmé ; la fatigue, la souffrance et la crainte avaient pris sa place. Elle s’assit découragée sur les dalles du cloître, et promena ses regards sous la profondeur de ces longues galeries, qu’éclairait une pe-