Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome IV, 1831.djvu/170

Cette page a été validée par deux contributeurs.

délai raisonnable que la supérieure lui avait accordé, et tout en se rendant au couvent, il cherchait de quelle maladie subite il devait se déclarer affligé, pour expliquer une si longue absence ; mais il n’eut pas la peine de se justifier, l’écouteuse lui déclara que madame de Lancastre ne pouvait le voir, attendu qu’elle était à l’office. Elle lui remit en même temps de la part de la dépositaire, le prix des leçons qu’il avait données au couvent. Est-ce mon congé ? dit Laorens stupéfait. — Il me semble que oui, dit sœur Écoute, d’un air triomphant de méchanceté, car je ne suppose pas qu’on ait pris un remplaçant par intérim.