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rangé, l’avait congédié assez sèchement ; la vieille marquise emmena son dissipateur : La sœur Olympie donna une franche et cordiale poignée de main à son vieux dragon, en lui promettant que, s’il lui tombait un jour entre les mains, il serait soigné comme un enfant chéri : puis elle appela sa petite novice, avec qui elle devait aller passer un jour à l’hospice de Tarbes, pour y opérer une translation de jeunes sœurs qu’on la chargeait de conduire à Paris.

Avant de quitter sa nouvelle amie, la comédienne l’embrassa chaleureusement.