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pression sur son cerveau. Il voulut l’éclaircir, et pendant que le soprano essayait en vain de retrouver au fond de sa poitrine les sons purs et flatteurs qu’il avait si piteusement perdus, les deux amis échangèrent rapidement quelques paroles.

« Sérieusement, où en es-tu ?

« — Sérieusement, je n’en sais rien.

« — Mais qu’as-tu osé ?

« — Beaucoup… en paroles.

« — Voilà tout !

« — Ma parole d’honneur.

« — Quel âne tu fais !

« — Je le sais bien !