Page:Sand - Nouvelles Lettres d un voyageur.djvu/336

Cette page n’a pas encore été corrigée


C’est que, sous notre ciel, tu sentis la Nature
L’emporter dans les cœurs sur la science pure,
Et qu’au doux chant natal tu fus initié.

Si, dans ce peu de mots, je ne puis de ta vie
Résumer les travaux, la force et le génie,
Laissons dire le reste aux pleurs de l’amitié !