Non, ne pars pas comme ça ! tu n’es pas
assez guéri, et Buloz ne m’a pas encore envoyé
l’argent qu’il faudrait pour le voyage
d’Antonio[2]. Je ne veux pas que tu partes seul.
Pourquoi se quereller, mon Dieu ? ne suis-je
pas toujours le frère George, l’ami d’autrefois.
- ↑ Ces lignes sont écrites sur le verso d’une lettre d’Alfred de Musset, datée de Venise, à laquelle elles répondent : — apparemment George Sand aura renvoyé la lettre elle-même, tout de suite, avec la réponse.
- ↑ L’Italien qui devait accompagner Alfred de Musset comme domestique.