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— Je suis beau en comparaison !

— Tu l’as vu, bien vu ?

— Comme je vous vois.

— Par surprise ?

— Nullement. Je lui ai dit que j’étais curieux, il s’est exécuté de bonne grâce.

— Et l’autre, le faux Goefle ?

— Pas de nouvelles !

— C’est singulier ! On ne l’a vu nulle part ?

— Ce Waldo ne l’a pas aperçu au Stollborg, et M. Goefle n’est pas son compère.

— Ulphilas doit l’avoir vu pourtant ?

— Ulphilas n’a vu au Stollborg que M. Goefle, son domestique, et l’homme affreux que je viens de voir moi-même.

— M. Goefle a donc un domestique ? C’est notre inconnu déguisé.

— C’est un enfant de dix ans.

— Alors je m’y perds.

— M. le baron a quelque renseignement de cet Italien qui est là ?

— Non : c’est un menteur ou un fou ; n’importe, il faut retrouver cet inconnu qui m’a insulté ! Tu m’as dit qu’il avait causé et fumé avec le major Larrson et ses amis ?

— Oui, dans la salle d’en bas.