prétendue captivité de la dame grise. Non, Christian, la scène en Espagne ! cela vaudra beaucoup mieux.
— Va pour l’Espagne ! Donc, nous disons que le pâtissier a un marmot qui vient de naître, et qui sera l’illustre Stentarello. Or, le cuisinier du château, qui envoyait à ce pâtissier, de la part du baron…
— Du baron ?
— Vous m’avez remis le baron en tête en me parlant de rapprochements possibles. Notre traître s’appellera don Diego ou don Sanche.
— À la bonne heure ! Donc le cuisinier du baron… Bon ! m’y voilà aussi, moi ! je veux dire de don Sanche. Que lui envoie-t-il ?
— Un magnifique pâté dans une corbeille, pour qu’il ait à le faire cuire.
— J’y suis, j’y suis ! Il avait déposé cette corbeille dans la barque. Le batelier chargé d’enlever et de sauver l’enfant du mystère n’y fait pas attention et emporte les deux corbeilles : puis il se trompe, porte le pâté en nourrice, et envoie au pâtissier un enfant à mettre au four !
— Et le bon pâtissier élève les deux enfants, ou bien il s’embrouille et garde celui de la duchesse. De là, par la suite, des quiproquos sans fin, et nous