aussi un devoir à remplir. Il faut la rendre heureuse. (Baissant la voix.) Plus heureuse que ne l’a été sa mère ! (Aux autres.) Oui, oui, mes amis, je consens.
Devant cette déclaration généreuse, et digne de madame la comtesse, nous n’avons plus qu’à nous incliner et à nous réjouir.
Mais il faut le consentement du père, et vous ne l’avez pas.
Puisque vous nous y faites songer, signor Agitato, nous allons sur-le-champ lui écrire. (Il va à la table.) C’est à moi de lui demander la main de sa fille.
Hélène devrait lui écrire aussi !
Moi ?… il ne me répondra pas !
Pourvu qu’il approuve… Écrivez… écrivez… (Bas, à Marcus.) ne perdez pas de temps.
Que font donc ces enfants ?
Ils écrivent à monsieur votre fils.
Non, c’est à moi de lui faire savoir ma volonté… Mais je n’y vois plus assez… Où est Césaire ?
Ici, madame.