Page:Sand - Lélia, édition Dupuy-Tenré, 1833, tome 2.djvu/128

Cette page a été validée par deux contributeurs.


III



Quand Sténio souleva sa tête appesantie, des chants d’oiseaux annonçaient au loin dans les campagnes les approches du jour. L’horizon blanchissait, et l’air frais du matin arrivait par bouffées embaumées sur le front humide et pâle du jeune homme. Son premier mouvement fut d’embrasser Lélia ; mais elle avait rattaché son masque, et elle le re-