Page:Sand - Lélia, édition Dupuy-Tenré, 1833, tome 1.djvu/31

Cette page a été validée par deux contributeurs.


IV



L’âpreté de mes sollicitudes pour vous, je l’ai trop franchement exprimée, Lélia ; j’ai blessé la sublime pudeur de votre ame. C’est qu’aussi, Lélia, je suis bien malheureux ! Vous croyez que je porte sur vous l’œil curieux d’un philosophe, et vous vous trompez. Si je ne sentais pas que je vous appartiens, que désormais mon existence est invinciblement liée à la