Page:Sand - Lélia, édition Dupuy-Tenré, 1833, tome 1.djvu/207

Cette page a été validée par deux contributeurs.


XXIV



Le printemps était revenu avec ses chants d’oiseaux et ses parfums de fleurs nouvelles. Le jour finissait, les rougeurs du couchant s’effaçaient sous les teintes violettes de la nuit : Lélia rêvait sur la terrasse de la villa Viola. C’était une riche maison qu’un Italien avait fait bâtir pour sa maîtresse à l’entrée de ces montagnes. Elle y était morte de cha-