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CHAPITRE VINGT-SEPTIÈME.

Dernière visite au couvent. — Vie excentrique. — Debureau. — Jane et Aimée. — La baronne Dudevant me défend de compromettre son nom dans les arts. — Mon pseudonyme. — Jules Sand et George Sand. — Karl Sand. — Le choléra. — Le cloître Saint-Merry. — Je change de mansarde.


Il n’y a peut-être pas pour moi autant de contraste qu’on croirait à descendre de ces hauteurs du sentiment pour revenir à la vie d’écolier littéraire que j’étais en train de raconter. J’appelais cela crûment alors ma vie de gamin, et il y avait bien un reste d’aristocratie d’habitudes dans la manière railleuse dont je l’envisageais ; car, au fond, mon caractère se formait, et la vie réelle se révélait en moi sous cet habit d’emprunt qui me permettait d’être assez homme pour voir un milieu à jamais fermé sans cela à la campagnarde engourdie que j’avais été jusqu’alors.

Je regardai à cette époque, dans les arts et dans la politique, non plus seulement par induction et par déduction, comme j’aurais fait dans une donnée historique quelconque, mais dans l’histoire et dans le roman de la société et de