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de loups. — Pigon mangé par les loups. — Ils viennent sous nos fenêtres. — Un loup mange la porte de ma chambre. — Mon beau-père attaqué par quatorze loups. — Les Espagnols pasteurs nomades et bandits dans les landes. — La culture et la récolte du liège. — Beauté des hivers dans ce pays. — Mort de mon beau-père. — Portrait et caractère de sa veuve, la baronne Dudevant. — Malheur de sa situation. — Retour à Nohant. — Parallèle entre la Gascogne et le Berry. — Blois. — Le Mont-d’Or. — Ursule. — M. Duris-Dufresne, député de l’Indre. — Une chanson. — Grand scandale à La Châtre. — Rapide résumé de divers petits voyages et circonstances jusqu’en 1831 
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XII
Coup d’œil rétrospectif sur quelques années esquissées dans le précédent chapitre. — Intérieur troublé. — Rêves évanouis. — Ma religion. — Question de la liberté des cultes, n’impliquant pas la liberté de s’abstenir de culte extérieur. — Mort douce d’une idée fixe. — Mort d’un cricri, — Projets d’un avenir à ma guise, vagues, mais persistants. — Pourquoi ces projets. — La gestion d’une année de revenu. — Ma démission. — Sorte d’interdiction de fait. — Mon frère et sa passion fâcheuse. — Les vents salés, les figures salées. — Essai d’un petit métier. — Le musée de peinture. — Révélation de l’art, sans certitude d’aucune spécialité. — Inaptitude pour les sciences naturelles, malgré l’amour de la nature. — On m’accorde une pension et la liberté. — Je quitte Nohant pour trois mois 
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XIII
Manière de préface à une nouvelle phase de mon récit. — Pourquoi je ne parle pas de toutes les personnes qui ont eu de l’influence sur ma vie, soit par la persuasion, soit par la persécution. — Quelques lignes de J.-J. Rousseau sur le même sujet. — Mon sentiment est tout l’opposé du sien. — Je ne sais pas attenter à la vie des autres, et, pour cause de christianisme invétéré, je n’ai pu me jeter dans la politique de personnalités. — Je reprends mon histoire. — La mansarde du quai Saint-Michel et la vie excentrique que j’ai menée pendant quelques mois avant de m’installer. — Déguisement qui réussit extraordinairement. — Méprises singulières. — M. Pinson. — Émile Paultre. — Le bouquet de mademoiselle Leverd.