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était ainsi, il faudrait verser des larmes amères sur la plus noble tentative et sur la plus belle espérance qui fut jamais !

Espérons que le miracle commencé s’accomplira, que la révolution patriotique de l’Italie ne périra pas comme toutes les révolutions ont péri pour avoir trop vite usé leurs hommes, et que celle-ci comprendra le nouveau et grand exemple qu’elle est invitée par Dieu même à donner au monde.


GEORGE SAND


Nohant, 26 mai 1860.


fin