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LOUISE.
Pourtant ?…
VALROGER.
Vous avez tort de l’offrir pour si peu, madame ! C’est un excitant dangereux.
LOUISE.
Dangereux pour qui ?
VALROGER.
Pour moi.
LOUISE.
Pourquoi me répondez-vous comme cela, voyons ? À quoi bon poursuivre l’escarmouche de convention et garder le ton plaisant, quand je vous dis tout bonnement les choses comme elles sont ?
VALROGER.
C’est que vous oubliez vos propres paroles : je suis un méchant, et j’ai le cœur froid comme glace.
LOUISE.
Je n’ai jamais cru cela.