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tastrophe, il était retourné au faubourg Saint-Martin, certain qu’on y aurait de ses nouvelles.

Francia était dans une petite chambre humide et misérable, qui ne recevait de jour que par une cour de deux mètres carrés, sorte de puits formé par la superposition des étages, et imprégné de toutes les souillures et de toutes les puanteurs des pauvres cuisines qui y déversaient leurs débris dans les cuvettes des plombs. C’était la chambre de Moynet, il n’en avait pas de meilleure à offrir, il n’avait pas le moyen d’en louer une autre et de payer une garde. Dodore heureusement ne quittait pas sa sœur d’un instant. Il la soignait avec un dévouement et une intelligence qui réparaient bien des choses. Il était comme transformé par quelques jours de fièvre patriotique et par la résolution de travailler. Antoine, qui s’était arrangé pour travailler cette semaine-là dans le voisinage, venait le matin, à midi et le soir, apporter tout ce qu’il pouvait se procurer pour le soulagement de la malade. La fruitière du coin, qui était une bonne Auvergnate, parente d’Antoine, et qui aimait Fran-