tites amies, qui ne t’ont pas oublié et qui demandent très souvent pourquoi tu ne reviens pas.
Je ne possède pas de coteau à Fontgombault. Je ne comprends rien à la légende de ce moine. Ces bonnes gens sont donc romanesques au point de ne pouvoir dire un mot de vrai ? Je possède pourtant un coteau sur les rives de la Creuse, mais c’est à Gargilesse et non à Fontgombault.
Te voilà redevenu Parisien, je suppose, et replongé dans l’étude. Je crois qu’après un peu d’efforts, tu y retrouveras plus de plaisir qu’auparavant. On ne travaille jamais mieux qu’après un bon repos. Tiens-moi toujours au courant, mon cher mignon. Dis toutes mes tendresses à tous les tiens, et tâche d’avoir un peu de répit pour venir nous embrasser. Tout Nohant t’aime et me charge de te le dire.
Mes tendresses en particulier à ta bonne maman, qui ne m’a pas écrit depuis bien longtemps.