à aucune autre. Embrasse Plouvier pour nous. Dis-lui que nous espérions le voir et qu’il devrait bien venir. Envoie-moi tout de suite le dictionnaire de Landry. Dis à Émile de te le solder.
Et des fleurs, envoies-en aussi ; on les adore ici, et, moi, je m’abrutis à les regarder.
Je dis que je ne songe à aucune pièce. Si fait, je songe à un canevas pour le théâtre de Nohant ; car on s’est décidé à jouer une fois, quand on serait arrivé à la moitié des gravures[1], c’est-à-dire dans quinze jours ; que n’es-tu là pour faire l’enchanteur ou le fort détachement de bleus !
Bonsoir, mon cher gros, tous les barbouilleurs t’embrassent, et moi aussi. J’espérais te retrouver à table à déjeuner le jour de ton départ, mais le Polonais[2] t’a enlevé ! Ne sois pas trente-sept ans sans me redonner de tes nouvelles.
CDXL
À M. FERRI-PISANI, À PARIS
Je vous expédie un petit ballot contenant deux puffs