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tions de la prairie blanche de rosée. C’était la jeunesse qui s’en allait fonder une autre ville, et qui emmenait une grande partie des animaux dont elle avait appris à se faire obéir, et beaucoup de vases, de vêtements et d’ustensiles en vue d’une colonie indépendante de l’assistance des parents.

La douleur des parents fut grande ; mais que pouvaient-ils contre la liberté ? Il n’était encore jamais entré dans l’esprit