Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 3.djvu/238

Cette page a été validée par deux contributeurs.

s’étant promis l’un à l’autre. Lith éprouvait en outre pour Sath une vive répugnance, et ses parents, effrayés, alléguèrent qu’elle n’était pas encore nubile. Mais Sath ne tenait point compte de leur refus et se préparait à enlever la jeune fille, lorsque Évenor, à peine rentré chez sa mère, fut adjuré par cette famille alarmée et par celle d’Ops, qui était la sienne propre, de leur venir en aide.

Évenor se rendit auprès de Sath, suivi