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que les flots t’ont ravis, et si je ne puis te donner les trésors de science divine que possédait la dive adorée, je veux, du moins, te rendre sa tendresse délicate et son dévouement maternel.

— Ô le bien-aimé de mon âme, dit Leucippe, pardonne-moi, à ton tour, le déchirement de mon cœur. Tu le vois, c’est moi qui suis faible, puisque j’ai tant de