Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 3.djvu/17

Cette page a été validée par deux contributeurs.

courage devait ébranler le règne de la douceur, et bientôt les jeunes gens, dédaignant de lutter contre la matière ou contre la brute, s’essayèrent à lutter les uns contre les autres. Ce furent les premiers combats, simulés, il est vrai, mais où s’essaya l’empire de la violence, et où s’allumèrent les premières étincelles de l’inimitié.

Tandis que les jeunes garçons marchaient ainsi vers un nouvel état de