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dance de l’esprit avec crainte ou avec plaisir, selon leurs tendances particulières. La vieillesse se trouva donc forcée de transiger, et, en l’absence de règles fixes dont on n’avait pas encore l’idée, on commença à vivre dans une sorte d’agitation et de méfiance.

Un instinct naturel ramenait cependant la plupart des jeunes gens à la soumission envers les parents ; mais cet instinct,