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que les autres compagnons d’Évenor, et son développement robuste le faisait paraître plus avancé encore. Sa beauté déjà virile réjouissait les regards, mais son intelligence tardive l’avait longtemps effacé et comme subordonné à l’ascendant d’Évenor et de ses jeunes amis.

Évenor parti, la vanité de Sath se sentait plus à l’aise, car il était vain de sa taille, de sa force et de son habileté dans les exercices du corps. Le contentement