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vous aiderons à élever vos enfants. »

Évenor ne pouvait donc songer à consulter son père et sa mère, dans l’état d’ignorance et d’indifférence où il les avait laissés plongés ; mais il se réservait, ainsi que Leucippe, d’aller leur demander leur bénédiction, en même temps qu’il leur apprendrait, s’il était possible, quelles relations sociales et religieuses établit l’adoption particulière.

Cette résolution ne fut donc pas mise