Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 2.djvu/162

Cette page a été validée par deux contributeurs.

baiser que, dans son cœur, elle donnait à Évenor.

— Hélas ! hélas ! dit Téleïa en lui rendant ses caresses, il faut que j’afflige ces cœurs si saintement unis. Écoutez-moi, enfants, et si mes paroles sont vraies, il faudra bien qu’elles persuadent vos esprits.

« Je vois et je sais l’ardeur de vos affec-