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vous initier seulement à la notion générale de l’immortalité, sans laquelle l’homme serait l’esclave du néant. Évenor, tu as connu la mort parmi les hommes. Ils reconnaissent son empire, puisque déjà plusieurs d’entre eux l’ont subie sans savoir qu’elle n’était qu’une apparence et une transformation. Quand tu es entré ici, tu étais donc un être mortel, et à présent, tu as vaincu la mort, si tu acceptes la révélation que je te donne.

— Celle-là, nous l’acceptons tout en-