Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 2.djvu/143

Cette page a été validée par deux contributeurs.

organes du corps. De là ces lacunes dans le rêve, ces réveils violents causés par une lutte intérieure, ou ces anéantissements paisibles d’où le rêve repartait plus clair et plus beau.

» Mais dois-je vous enseigner ces choses comme articles de croyance ? Votre nature s’y prête-t-elle, et cette faculté accordée à des créatures opprimées, comme nous l’étions, par une lourde atmosphère et de molles quiétudes physiques, ne serait-elle