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éteinte furent celles-ci : Crois, afin de me rejoindre !

» Je m’efforçai faiblement de lui obéir. Le mal était entré dans mon âme, et mon courage épuisé se refusait désormais à la loi divine. Je ne me souvenais plus que j’étais une dive, c’est-à-dire une idée fatiguée envoyée dans un astre réparateur pour y attendre des destinées peut-être moins douces, mais plus hautes. Je ne sentais plus en moi qu’un esprit inquiet et