Page:Sand - Évenor et Leucippe, Garnier, 1856, tome 1.djvu/170

Cette page a été validée par deux contributeurs.

core peu développée chez l’homme en général. On n’avait pas éprouvé assez de résistance de la part des êtres et des choses, pour s’exercer aux efforts des athlètes. Les luttes du cirque appartiennent aux temps de gloire ou de vanité. La vie était donc plutôt industrieuse que vigoureuse autour d’Évenor, et parmi ceux qui étaient ingénieux à obtenir un résultat sans vaine dépense de temps et de fatigue, il se faisait remarquer comme le plus chercheur et le plus attentif.

Je serais embarrassé de dire quelles idées on se faisait de la beauté dans cette