le prince est saint et le ministre fidèle ; le père est affectueux et le fils pratique la piété filiale ; le mari est doux et la femme est soumise ; alors l’univers est pur et tranquille, et les États jouissent d’une paix profonde.
L’expression pou-khiong est rendue en manchou par mokhon-akô, sans fin ; elle est expliquée dans la glose chinoise par pou-i, sans cesser, sans s’arrêter.
Les douze mots, de 169 à 180, n’ont pas besoin de commentaire.
Glose chinoise : La terre est située au centre, et les quatre côtés du monde y correspondent. [La version mandchoue présente un autre sens : Damou boikhon douin dere de kemou atohaboukhangge kai, seulement la terre correspond à la fois aux quatre côtés du monde.]
La plus grande partie du commentaire est sans intérêt pour nous et dépourvue de bon sens, par exemple, lorsqu’il y est dit : Au printemps, la vertu réside dans le bois et répond à l’humanité ; en été,