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SAN-TSEU-KING
三字經
LE LIVRE DES PHRASES DE TROIS MOTS
1—6
Jin-tchi-thsou, Sing-pen-chen
À la naissance de l’homme, sa nature est radicalement bonne.
人之初,性本善
(Extrait du Commentaire chinois.)
Dès que l’homme est né, il commence à avoir de l’intelligence. D’abord, il reconnaît sa mère. Lorsqu’il commence à apprendre à parler, il appelle d’abord son père.
Meng-tseu dit : « Il n’y a point de petit garçon qui ne sache aimer ses parents. Quand les garçons sont devenus grands, il n’y en a pas un seul qui ne sache respecter ses frères aînés. »
Tchou-hi dit : « La nature de l’homme est généralement bonne. » Il a bien raison.
7—12
Sing-siang-kin, Si-siang-youen
L’homme se rapproche de son semblable par sa nature ;
il s’en éloigne par l’habitude (au bien ou au mal).
性相近,習相遠