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ŒUVRES DE ALBERT SAMAIN


Puis une robe éparse et des gants assouplis,
Où l’on voit vivre encore une main dans les plis,
Jetés sur des feuillets griffés de mots de flamme……



Par le vitrail ouvert au vent d’automne, un jour,
Quelque chose s’enfuit, fait de langueur d’amour,
De musique fanée et de douceurs de femme…



Et ce je ne sais quoi d’ailé, c’était mon âme.