Page:Samain - Œuvres, t1, 1921.djvu/74

Cette page a été validée par deux contributeurs.
60
au jardin de l'infante



Sanglot d’or !… Oh ! voici le divin sortilège !
Un vent d’aile a couru sur la chair qui s’allège ;
Des mains d’anges sur nous promènent leur douceur.


Harmonie, et c’est toi, la Vierge secourable,
Qui, comme un pauvre enfant, berces contre ton cœur
Notre cœur infini, notre cœur misérable.