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République romaine, et la traduction que Beauzée publia en 1775 : les travaux de ces deux savants m’éclairèrent sans me décourager. Plus d’un traducteur est depuis entré dans la lice. Le plus récent et l’un des plus heureux est M. Durozoir, qui m’a fait l’honneur de me citer quelquefois dans ses notes : je me suis cru permis de profiter à mon tour des lumières nouvelles qui s’offraient à moi, pour me rapprocher du but que, comme mes émules, je me suis efforcé d’atteindre.
Nota. J’ai cru devoir m’affranchir de la division du texte en chapitres : elle m’a paru presque toujours arbitraire, et souvent opposée à la liaison des idées et au sens véritable.