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REMARQUES


1. In togâ candidâ : littéralement, discours prononcé par Cicéron revêtu de la toge blanche, celle que portaient les candidats.

2. Sequestres : Voyez De la Demande du Consulat, note 42.

3. — Asconius croit que ce noble était Crassus ou César.

4. — Voyez De la Demande du Consulat, note 10.

5. — Catilina. Voyez De la Demande du Consulat.

6. — On sent assez que ce passage est ironique, et signifie qu’après l’absolution qu’il a obtenue, Catilina est en droit de ne plus craindre les tribunaux, quelque accusation que l’on intente contre lui.

7. — Cicéron avait défendu avec succès Q. Mutius Orestinus, accusé de pillage et de vol. Vendu aux ennemis de son bienfaiteur, Mutius tournait en ridicule, dans toutes ses harangues, la naissance et le caractère de Cicéron.

8. — Voyez De la Demande du Consulat.

9. — Verrès, suivant Asconius.

10. — Le soupçon que Cicéron jette ici sur Antoine, était aussi vraisemblable que propre à frapper l’esprit des Romains, encore épouvantés du souvenir de Spartacus.

11. — Sous prétexte de donner au peuple des spectacles de gladiateurs, Catilina, et, à son exemple, Clodius et tous les mauvais citoyens s’entouraient d’une troupe de sicaires, à