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Lundi-Æàfévrier 1864.

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Corneille» alétéï dänslces’dernières’annéesnetflil estl plus que jamais : en ce moment ; l’olljetf.d’unefquantité ; dé travaux‘ qui‘ convergent et=quir fixeront définitives‘ ment‘ la‘ critiqué et’lesljugements : quîelle. doit : porter. sur-cé pèré de» notré théâtre ; lies’jugements. de‘ : goûti sont’depuis’longtemps= épuisés, ‘ et : ils ne : seront‘ pasi surpassés. La doubler opinion’de oeuxc qui préfèrent ouvertement‘ Gorneille=à HHCÏHGfGËdBEGIBÜX qui ;.auioon.traire, préfèrent fin comparable ment Racine ËLGOYIIGÎÜG, ou‘ encore‘ le‘ suffrage impartial et ! équitable des’anbitres entre-ces deux illustœsmivaux, ’ont : étéexpr-imés d’une façon heureuse ‘et sans répliquezpar’ces plumes fines et d’ün’é qualité rare ; Saint-Êvremond’, Fontanelle, Féne» l’on, Vauvenargues, La Bruyère, Voltaire, même La Harpe ; nous nous tourmentons fort pour dire-autre :-