sible dans le moyen âge, lllême dans le cadre resserré où je me suis tenu‘, on a» pwsaisifrrparfaitement la marchewefl le progvësvnætmrel du : Mystère‘ ou jeu dialoguées‘ par personnagesnde : snjeœ religieux et sacrés’ : Uabond il : se passe dmsde sanctuaire et dlans’l’église, et‘ est ztout latin ;
Puis ; iîansi son : premienmélange ; à Pélalt de drame fqmi, c’est-à-dùfedans som latin. ennelardéde français, il se‘ lient da-ns l’église.‘ encore ;
Puis, uoultenfrançauis, IIIEÉSIBXIIIOFBÂÎŒIIÎIÎB, ‘ sïâcantaot peuïdes’textesusacrréswszh, pour‘ ainsi diràe‘, ‘amtenam, à lïégliseeifl se jouemut‘ aoum et devant" ’ Gîest cette : ‘(ÏBBÜÎÈBELÏÜTIBB donna, 13 ! ‘pièce : cFAdu/nz nous-fa : ofifert un qanemzier exemple ; [ilem- ai indiqué les méxzitesubiem-commençans, bien : éliémenmnes, nuelœzetf grossierslfenuone. Cette.- pilèce, assuuénment‘, n’était‘ pas la seule en son genre ; il y en lellfi’sans aucun ‘douœe plus dñunesur‘ lle‘ ‘même S1lj’&}"Ü‘d’€äp’llÎS2 le xne siècle, et chaque fois qu’on y revenait (lûfl peut : le conjecturer sans crainte)‘ le‘ sujet étain traité avec : un développe» mentferoissant, était‘ pnusséuplusfloizn. Peu ‘à’peu tout : lïAncien et le Nouveau Tesiamendl y passèrent -e1 : y défilèrent, mis et traduits-aexiscènes et en personnages ; et les’Vlies des Saints, et lesi Müacles’de» : lue Vierge égale ;ment. . On hrodai-t, . on amplifiais, on YÎHÙFOÔJLIÎSaÎLŒ. des légendes» et- desltnaditinns «te- toutes mains», ‘on y’fin : : recalait des : scènes : vulgaires-n d’une : véritëz et d’ume. copie contemporaine : ultachlante‘. lgle lzlléâlrre sïélargissait’en» toutsens ; il envahissait la place publique. Selon une très-heureuse expressif pittoresque, on aurait dit, à