TABLE DES MATIÈRES
Mémoires du comte Beugnot.
Frochot, préfet de la Seine, par M. Louis Passy.
Maurice comte de Saxe, et Marie-Josèphe de Saxe, dauphine, par M. le comte Vitzhum d’eckstaedt. I.
Maurice comte de Saxe, et Marie-Josèphe de Saxe, dauphine, par M. le comte Vitzhum d’eckstaedt. II.
Maurice comte de Saxe, et Marie-Josèphe de Saxe, dauphine, par M. le comte Vitzhum d’eckstaedt. III.
Le comte de Clermont et sa cour, par M. Jules Cousin. I.
Le comte de Clermont et sa cour, par M. Jules Cousin. II.
Le comte de Clermont et sa cour, par M. Jules Cousin. III.
Œuvres de Virgile, publiées par M. E. Benoist.
Observations sur l’orthographe française, par M. Ambroise-firmin Didot.
Le comte de Gisors, par M. Camille Rousset.
Le général Franceschi-Delonne, par le général baron de Saint-Joseph.
Mémoires de Malouet, publiés par son petit-fils. I.
Mémoires de Malouet, publiés par son petit-fils. II.
Mémoires de Malouet, publiés par son petit-fils. III.
Œuvres inédites de La Mennais, publiées par M. Ange Blaize. I.
Œuvres inédites de La Mennais, publiées par M. Ange Blaize. II.
Œuvres choisies de Charles Loyson.
Dans le tome X, une correction est à faire page 344, à la note. J’y disais : M. Royer-Collard eut toujours un grand goût pour Tocqueville. Il aurait pu lui dire, en effet, comme Voltaire le dit un jour au chevalier de Boufflers « Et j’aime en vous mon héritier ». Le baron Gaston de Flotte, un vrai lettré, un esprit cultivé et bienveillant, et de plus un esprit juste, qui souffre à la vue de la moindre erreur comme souffre un musicien à l’audition d’une fausse note, m’avertit que ce n’est pas à Boufflers, mais que c’est à François de Neufchâteau que Voltaire a dit cela :
Si vous brillez à votre aurore,
Quand je m’éteins à mon couchant…
· · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · ·
Il faut bien que l’on me succède,
Et j’aime en vous mon héritier.