sa place et se borne à regarder. J’attends avec une sorte d’impatience l’automne, et il me semble que, si je puis encore avoir le bonheur de vous recevoir, j’aurai l’impression d’être encore des vivants.
Je mets à vos pieds. Princesse, mon tendre et respectueux hommage.
CCXLX
J’ai lu ces charmants vers, où respire le parfum et comme la bouffée du printemps de la vie. La sève découle du jeune arbre en fleurs. — Il y a un vif sentiment d’harmonie. Il n’y a plus qu’à appliquer à quelque sujet cette jeune poésie encore errante. Ces sujets se rencontreront bien d’eux-mêmes. Je complimente l’aimable jeune homme dont le talent prend des ailes.
Je suis charmé de la réponse du chevalier de G… Oh ! si dans tout ce que nous désirons il nous en arrivait seulement la moitié, que nous aurions de grâces à rendre ! Je vois quelquefois