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À LA PRINCESSE
daignera m’accepter comme je suis. — J’ai un vrai chagrin de cette mort si soudaine (quoique le mal existât depuis longtemps) de ce brave Duveyrier[1]. Il m’était venu voir le samedi même, son dernier jour de sortie (il fut pris la nuit suivante de délire), et il me parlait de vous, Princesse, avec un sentiment d’homme charmé et reconnaissant. Je le comparais à un flambeau qui marchait toujours. C’est encore une intelligence qui vient de s’éteindre.
Veuillez agréer, Princesse, l’hommage de mon tendre et respectueux attachement.
CLXXVIII
Ce dimanche.
Princesse,
Je ne sais rien que la nouvelle[2] : hier soir à dix heures m’est arrivée cette lettre de son fils que je joins ici. Il se sera éteint. Il y avait