comme l’un des rapporteurs essentiels. Là où il y aurait à décrire et à inventorier, on pourrait trouver un chapitre ou une division pour Théophile Gautier.
Mais enfin, Princesse, pensez tout doucement
ainsi totalement modifiée, des hommes du courant comme Champfleury et Monselet, etc.
» Tout a donc changé d’aspect ; et je ne vois dans la situation que trois hommes très-capables de faire tout à fait bien et en toute conscience un tel rapport.
» Ce sont — ou M. Nisard, — ou M. Caro, — ou M. Paul Janet.
» Les auxiliaires, dans cette supposition, pourraient être ou Merlet, ou M. de Mouy, ou M. Claveau, ou Saint-René Taillandier plus considérable. Et ce n’est point par dédain que j’indique ces noms, mais c’est par leur analogie avec l’idée et avec la doctrine qui doit dominer.
» Quand il n’y avait que des sénateurs rapporteurs, la tâche m’incombait presque inévitablement : je ne pouvais en quelque sorte m’y dérober. Aujourd’hui, en acceptant un travail dont l’esprit m’est presque contraire et dont les éléments, comme je l’entendais, me manqueraient, je semblerais aller au-devant d’une palinodie et d’une contradiction avec moi-même, — aller, sans y être obligé, au-devant d’un écueil.
» Excusez-moi donc, Monsieur et cher Ministre, si je résigne l’honneur que vous vouliez me faire ; mais plus j’y ai réfléchi, plus l’impossibilité m’est apparue.
» Veuillez agréer l’expression de mes sentiments respectueux et dévoués,