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LETTRES

Princesse ; à mercredi, une heure de fraîcheur. Je mets à vos pieds l’hommage de mon respectueux et fidèle attachement.



CXIII


7 juillet.
Princesse,

Quoi qu’on puisse dire, j’étais hors de combat hier encore : l’orage m’a averti que tout simplement je suis un baromètre. Heureux ceux qui, comme ce jeune M. Lebrun, se moquent du soleil et font la pluie et le beau temps ! Je l’enviais hier en le voyant si allègre et si alerte au départ.

Sacy a été un messager de Votre Altesse, des plus aimables et des plus pathétiques.

Mais je croyais, Princesse, que vous aviez lu ces livres de MM. Erckmann-Chatrian. Je m’étais même avancé jusqu’à dire à ce dernier, M. Chatrian, que Votre Altesse le verrait avec plaisir. J’étais bien un peu étonné que le Conscrit de 1813 eût passé si coulamment ; mais je m’é-