Vous êtes toujours mille fois bon, mais vous allez partir. Ne vous souciez pas de ce soin dominical, si aimable, mais qui peut devenir à la longue un pou assujettissant. Nous recourrons, à votre retour, à votre bonne grâce qui nous est assurée et dont on est bien reconnaissant[1].
Tout à vous.
Mon cher ami,
Que j’ai eu du regret de vous manquer ! Que n’avez-vous pu attendre un moment ! Vous avez été présent ici d’esprit et de cœur ! On a même suppléé une dernière fois à votre présence avec une grâce où je vous ai reconnu[2]. Vous avez bien des choses à me dire d’un beau voyage. Je n’ai pas bougé d’ici et j’ai eu mon petit naufrage en rade, en vue du port. Mon deuil en est fait. Vous me donnerez, n’est-ce pas ? quelques moments quand vous serez un peu moins occupé que vous ne devez l’être en arrivant.
Tout à vous.